De nombreuses solutions existent pour moins dépendre de la paille.
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Dans le Morbihan, la ferme Bel Orient a testé plusieurs types de litières avant de choisir le miscanthus. L’objectif des éleveurs en faisant ce choix : améliorer le bien-être animal et la santé du troupeau.
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Dans les Vosges, Denis Géhant a fait le choix de tester le bois plaquette en litière sur son exploitation. Après plusieurs années d’utilisation, l’éleveur est satisfait de cette décision. Au total, il cure deux fois la stabulation, une fois au milieu de l’hiver et une fois à la sortie du bâtiment.
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Le Gaec Adam, situé en Haute-Saône, a fait le choix de couvrir ses logettes creuses de lisier déshydraté et thermisé pour le couchage de ses 400 vaches. Cette option rend les vaches propres et évite les traumatismes des membres.
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Face aux tensions présentes sur le marché de la paille, des nouvelles pistes de réflexion sont en cours pour améliorer l’autonomie des agriculteurs sur ce point. Deux leviers sont étudiés : l’utilisation de matériaux alternatifs et la diminution de la consommation de paille.
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Pourquoi la disponibilité en paille est de plus en plus tendue chaque année ? Les équipes d’Inosys réseaux d’élevage tentent d’y répondre grâce à une analyse rétrospective des données collectées pendant 20 ans auprès de 3.300 fermes du réseau.
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