Avec trois filières supplémentaires, en plus des vingt-deux déjà présentes, Adivalor élargit encore son champ d’action. Il ajoute à son panel de déchets recyclés les emballages alimentaires de l’élevage, les pots de l’horticulture et les boîtes de semences de betteraves. Parallèlement, un mouvement de relocalisation du recyclage est en cours, grâce à l’apparition de nouveaux acteurs dans l’Hexagone.
La proportion des déchets agricoles collectés et recyclés par Adivalor est de 80 %. Grâce à une augmentation régulière du nombre de filières depuis ses débuts, quatre cinquièmes des bidons vides, bâches, ficelles, filets sont aujourd’hui recyclés au lieu d’être brûlés ou enfouis.
Après collecte, les déchets sont acheminés chez un spécialiste de la logistique qui réalise la mise en balles, puis chez un recycleur. Les points de collecte sont aujourd’hui au nombre de 8 500. « La force du dispositif réside dans le fait que tout au long des filières, les déchets ne sont jamais mélangés. C’est grâce à cela que le pourcentage de déchets recyclés est aussi élevé », souligne Pierre-Étienne Genthon, chargé des relation
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