
La conférence régionale « Forum for the future of Agriculture » (FFA) qui s’est tenue à Reims le 25 janvier a été l’occasion d’évoquer la PAC post-2020. Pour Achim Irimescu, représentant permanent de la Roumanie auprès de l’Union européenne, la question d’une nouvelle PAC quand la majorité des agriculteurs se plaint de l’actuelle est essentielle. Si la PAC constitue la seule vraie politique commune de l’Union européenne, forte d’un budget annuel de 50 milliards d’euros, Catherine Geslain-Lanéelle du ministère de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la Forêt, souligne toutefois :
« La PAC est loin d’être parfaite et présente des points faibles. Elle est notamment complexe à expliquer du fait des nombreux objectifs qu’elle doit remplir. Elle est aussi difficile à mettre en œuvre pour les agriculteurs et les États membres. »
Céline Charveriat, directrice exécutive de l’Institut pour la politique environnementale européenne (IEEP), d’embrayer :
« Tout ne doit pas être dans la PAC. Tout n’est pas du ressort de la politique. Les filières doivent être en mesure de teni
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