
Si au 15 juin, l’aspect des cultures était prometteur, la pluviométrie des mois de juillet et août a impacté la qualité.
De l’eau, de l’eau et encore de l’eau. Une pluviométrie estivale qui a non seulement retardé le début de la moisson en Lorraine, commencée aux alentours du 20 juillet, mais qui l’a aussi entrecoupée. Ainsi, au 11 août, les récoltes n’étaient pas encore terminées, mais les chantiers redémarraient pour la dernière tranche.
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« Nous avons déjà connu des dates de moisson plus tardives, mais cela dénote par rapport aux trois dernières années où la moisson s’est terminée plus tôt et surtout sans aucune pluie du début à la fin », introduit David Meder, responsable céréales chez EMC2.
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« Même si la moisson s’est étalée dans le temps, les fenêtres climatiques ont été très réduites, tout le travail s’est concentré sur quelques jours », ajoute Jean-Marie Guerber, président du GPB.
Ainsi, il a fallu composer avec des conditions de récoltes défavorables.
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« Le sol n’a pas le temps de bien sécher, et les machines marquent la terre », ex
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