
Néonicotinoïdes, glyphosate, perturbateurs endocriniens et Ecophyto II, l’UIPP a présenté sa position sur les actualités phyto le 12 mai dernier.
L’Union des industries de la protection des plantes (UIPP) se positionne pour soutenir les bonnes pratiques et l’innovation, mais reste opposée à des mesures punitives qui pénaliseraient le secteur agricole. C’est ce qu’a affirmé Eugénia Pommaret, directrice générale de l’UIPP, lors d’un point presse sur l’actualité du secteur phyto le 12 mai.
Parmi les sujets abordés, la définition des perturbateurs endocriniens. Non spécifique aux produits phytosanitaires, la démarche vise à établir non pas une liste de substances, mais les critères scientifiques qui serviront à définir un perturbateur endocrinien, comme le mode d’action ou le seuil du perturbateur endocrinien.
« La définition doit tenir compte du contexte d’utilisation de ces perturbateurs endocriniens, avec notamment le critère de puissance », insiste Nicolas Kerfant, président de l’UIPP.
Une proposition doit être faite avant l’été par la Commission européenne. Après une période de discussions
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