
Dans un contexte de concurrence prégnante, comment la filière céréalière peut-elle gagner en compétitivité ? À l’occasion des États généraux de l’alimentation, la filière céréalière avait mis en évidence dans son plan de filière qu’une optimisation de sa chaîne logistique pouvait contribuer à faire gagner environ 15 euros par tonne commercialisée. Pour le compte de FranceAgriMer et d'Intercéréales, les cabinets Ceresco et Systra ont réalisé une étude d’évaluation des coûts de la chaîne logistique de la filière céréalière française. En préambule, l’étude souligne qu’il existe peu voire pas du tout de données détaillées et publiquement disponibles sur la décomposition des coûts de la chaîne logistique. Les deux objectifs de cette étude, comme le rappellent les auteurs, étaient, d’une part, de décomposer et d'estimer les coûts unitaires de la chaîne d’approvisionnement (de la récolte à sa destination commerciale), et d’autre part, d’identifier les principaux facteurs de dégradation et d’optimisation tout au long de la chaîne.
Précisons donc que le périmètre de l’étude va de la collecte jusqu’à la foss
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