
À l’image de la filière Agri-éthique lancée par la Cavac sur la filière blé tendre, la filière blé dur cherche à générer et sécuriser la valeur pour l’ensemble de la filière. Jean-François Gleizes, président du comité de pilotage de la filière blé dur, est persuadé qu’une telle démarche aurait du sens.
Jean-François Gleizes, producteur de blé
dur et président du comité de pilotage
de la filière blé dur. © Crédit Passion Céréales
«La démarche agri-éthique me semble un excellent modèle à développer pour la filière blé dur. Car nous avons un besoin absolu de sécuriser cette production sur l’ensemble de la filière », introduit Jean-François Gleizes, producteur de blé dur et président du comité de pilotage de la filière blé dur.
Le marché du blé dur se distingue des autres céréales par le fait qu’il s’agit d’un marché très étroit. La production et la consommation mondiale sont d’environ 40 millions de tonnes. « Le marché du blé dur est un petit marché très spéculatif. À l’échelle mondiale, il est principalement cultivé au sud de l’Europe et au Canada. Deux zones aux climats
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