InVivo est la première union française de coopératives. Elle prend très au sérieux les notions de raison d’être et de mission qui ont été intégrées dans le projet de loi pour la croissance et la transformation des entreprises, dit « Pacte ». Trois questions à Carole Hernandez-Zakine, directrice des affaires publiques de sa filiale agricole Bioline by InVivo.
Quel est votre regard sur la notion de « société à mission », introduit par des députés de la majorité dans le projet de loi ?
Le lien quelque peu distendu de nos concitoyens à l’égard des grandes entreprises nécessite qu’une prise de conscience apparaisse pour leur donner la légitimité et la reconnaissance qu’elles méritent. La loi doit permettre aux entreprises qui le souhaitent de se projeter sur le long terme, en dépassant ainsi le court terme et la financiarisation exclusive de ses activités. Grâce au dispositif de la future loi Pacte, InVivo va s’inscrire dans une dynamique d’intelligence alimentaire au service de ses parties prenantes mais également au service des consommateurs-citoyens.
En tant que coopérative leader, quel rôle moteur In Vivo peut jouer ?
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