
« Les pesticides biologiques à faible risque, y compris ceux à base de bio-organismes, de phéromones ou d’huiles essentielles, pourraient remplacer les pesticides conventionnels, suspectés de nuire à l’environnement et à la santé humaine » : c’est ce qu’indiquent ce jour les députés européens, qui « se demandent pourquoi certains États membres hésitent ou se refusent à les approuver ».
Dans une résolution votée ce mercredi, les députés remarquent que « seules sept substances actives classées comme étant "à faible risque" ont été à ce jour approuvées pour une utilisation dans l’UE. »
Ils souhaitent que la Commission européenne présente d’ici à fin 2018 une proposition législative afin d’accélérer la procédure d’évaluation, d’autorisation et d’enregistrement des pesticides à faible risque.