Le dir com, un impertinent constructif

Éric Gelpe, directeur général de Groupama Val de Loire, Thierry Blandinières, directeur général d’Invivo, et Jacques Mathieu, directeur général d’Arvalis, sont intervenus à une table ronde du Syrpa. Photo : S.Bot/Pixel image


Le Syrpa, réseau des agricommunicants, a dévoilé les résultats de son enquête, réalisée en 2016, sur les métiers de la communication en agriculture. À cette occasion, Thierry Blandinières, directeur général d’Invivo, Éric Gelpe, directeur général de Groupama Val de Loire, et Jacques Mathieu, directeur général d’Arvalis, sont intervenus à une table ronde. Zoom sur leurs visions de la communication et sur les qualités requises d’un bon communicant.


Qu’est-ce qu’un directeur général attend de son directeur communication ?
Jacques Mathieu, Arvalis : Le directeur communication anime une équipe qui a quatre grands chantiers : porter la stratégie à l’extérieur, valoriser l’image, faire, et bousculer. J’attends qu’il soit un impertinent constructif.
Thierry Blandinières, Invivo : On attend du directeur communication qu’il sache déployer le plan stratégique auprès des 223 coopératives adhérentes, des salariés en France et à l’international, des parties prenantes telles que les financiers. Il doit aussi savoir saisir les moments d’actualité pour nourrir des prises de parole qui valorisent la stratégie d’entreprise.

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