Florence Pradier revient, pour "Circuits Culture", sur sa première année à la direction de La Coopération Agricole et sur les enjeux pour 2021. La décarbonation des filières, l’amélioration de la compétitivité et la réconciliation entre agriculteurs et consommateurs feront partie des axes de travail.
Quels sont les premiers chantiers sur lesquels vous avez planché depuis votre arrivée ?
Florence Pradier : Mon premier chantier a été de faire connaissance avec la maison des coopératives et d’organiser les conditions pour traiter des sujets complexes et attendus par la société. Par exemple, j’ai confié à chaque directeur de section (pôle animal, métiers du grain, luzerne, vin, métiers du lait…) le pilotage d’un sujet engageant pour La Coopération Agricole (développer la HVE, travailler une stratégie bas carbone, protéger la biodiversité…). En introduisant de la matricialité dans l’organisation, je table sur une dynamique d’équipe enrichie de la diversité des compétences et des expériences.
Le deuxième chantier a été de travailler à une stratégie pour La Coopération Agricole à horizon 2030 : quelles seront ses missions,
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