Pour certaines structures, l’égalité de traitement revient à de l’équité. Pour d’autres, le contexte oblige à faire évoluer cette notion déjà très ancienne.
L’équité de traitement reste toujours un sujet très stratégique dans la relation d’une coopérative avec ses adhérents.
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« C’est l’un des fondamentaux de la coopération agricole ! », insiste Jean-Olivier Lhuissier, directeur des activités agricoles chez Vivescia.
Jean-Paul Louppe, directeur de Novagrain, ajoute :
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« C’est une valeur fondamentale de notre identité et nous nous efforçons de la préserver. »
Pour Sylvain Théon, directeur général de Garun-Paysanne, l’équité de traitement existe à la coopérative d’autant plus qu’aucune société de négoce n’y est filialisée.
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« La coopérative est un outil commun, propriété des adhérents, comment pourrait-elle fonctionner en créant des différences en son sein ? », s’étonne-t-il.
Chaque dirigeant peut en avoir sa propre définition. Ce qui n’est pas étonnant : selon les dictionnaires, le terme « équité » (du latin aequitas) se défi