
En menant des études sur le potentiel redox dans ses vignes, la coopérative Estandon espère pouvoir comprendre l’impact de diverses pratiques et mieux conseiller ses adhérents. La mise au point en 2022 d’un scanner de mesure doit faciliter la démocratisation de l’approche.
Membre de l’association Sol Vivant, adepte des couverts végétaux et du suivi hydrique de ses parcelles, la coopérative Estandon s’intéresse depuis trois ans à l’approche du potentiel redox. « Nous faisons partie de l’association La Belle Vigne, qui travaille sur l’agroécologie et nous a mis en contact avec la start-up Senseen de mesure du potentiel redox. Je me suis aussi formé auprès d’Olivier Husson, chercheur au Cirad de Montpellier, spécialiste du sujet », indique Stephan Reinig, responsable technique vignes et vinification pour Estandon Coopérative en Provence. Celle-ci regroupe désormais 9 caves coopératives et 13 caves particulières, et revendique la première place de metteur en marché des vins de Provence avec 10 % de la production totale.
Pour lui, l’intérêt est simple : « Plus une plante est stressée, plus elle aura tend
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