Un bouclier énergétique pour éviter l’arrêt d’activités des coopératives

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« Nous avons besoin avant le 1er janvier 2023 d’avoir un bouclier énergétique efficace, facile d’accès et rapidement mis en œuvre », soutient Antoine Hacard, président de LCA métiers du grain. Photo : S.Bot/Média et Agriculture
Avec les risques de pénuries sur les engrais et les hausses de prix de l’énergie, La Coopération agricole métiers du grain suit particulièrement deux dossiers : disposer d’un bouclier énergétique efficace et rapidement mis en place, et accéder aux engrais de l’usine d’Eurochem Anvers.

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« Les prix des engrais ont été multipliés par quatre pour l’ammonitrate 27 pour atteindre 1000 €/t, rappelle Antoine Hacard, président de La Coopération agricole (LCA) métiers du grain, lors de la conférence de presse du 11 octobre. Avec, pour certaines formules d’engrais de fond, des prix multipliés par cinq. En parallèle, il y a des problèmes de forte disponibilité pour les engrais azotés. La situation est extrêmement préoccupante. »


Les coopératives ont donc déjà pris de l’avance sur la commercialisation des céréales en couvrant une partie de la production 2023 afin d’éviter le risque ciseaux (c’est-à-dire acheter les engrais à des coûts très élevés et vendre les céréales à un prix moindre).

L’un des enjeux pour LCA métiers du grain est d’accompagner les entreprises afin qu’elles maintiennent leur activité.

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« Nous avons besoin avant le 1er…
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