
Le projet de recherche Mopad, mené par la société Biovitis en partenariat avec Limagrain et le CEA, vise à identifier des solutions de biocontrôle contre la fusariose du blé. Une gamme de produits sous forme de spray et d’enrobage de semences devrait être commercialisée d’ici 2020.
Si le biocontrôle est bien présent en maraîchage, vigne et arboriculture, les solutions restent rares en grandes cultures. La société Biovitis, spécialisée dans la production de micro-organismes d’intérêt agronomique et alimentaire, pilote depuis un an un projet de R&D intitulé Mopad (Micro-organismes pour une agriculture durable) en partenariat avec Limagrain et deux laboratoires de la direction des sciences du vivant du CEA. Le but ? Identifier des micro-organismes qui luttent contre la fusariose du blé tendre et développer une gamme de produits d’ici 2020.
Exergue n°436235
« L’enjeu en grandes cultures est de montrer l’action de produits en milieu ouvert et donc soumis à de nombreux paramètres, alors que les micro-organismes sont très sensibles aux conditions environnementales », explique Damien Grizard, directeur de la recherche chez Biovitis.
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