
Les firmes phytopharmaceutiques évoquent leurs projets de recherche à moyen terme pour la prochaine campagne.
© Bildlove/Adobe StockKoppert : un soufre d’origine biologique peu lessivable
Lancée sur le marché de la viticulture depuis 2021, Koppert élargit sa gamme avec un soufre d’origine biologique, nommé CeraSulfur, pour lutter contre l’oïdium. Il présente un mode de fabrication original, puisqu’il provient de la transformation par des bactéries de sulfure d’hydrogène issu de digestats de fermentations de déchets végétaux agricoles.
Le soufre est ainsi formulé avec une taille de particules (4 à 6 microns) permettant une sublimation optimale, un fort pouvoir de recouvrement du végétal et une absence de phytotoxicité. Il est utilisable en AB et sous forme liquide.
Koppert met en avant sa facilité d’emploi, cette forme spongieuse de l’élément soufre rendant le produit peu lessivable et naturellement hygrophile. CeraSulfur permet jusqu’à 10 applications de 2 à 6 l/ha (maximum de 11,4 l/ha). Deux formats de packaging sont disponibles, en 20 l et en 1.000 l.
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