De Sangosse : ses pistes pour doubler le biocontrôle d'ici deux ans

Parmi les acteurs du secteur de la protection des plantes, De Sangosse veut faire passer de 8 % la proportion d'hectares traités en biocontrôle dans l'Hexagone en 2023 à 15 %, voire 20 %, en 2025. Mais pour cela, il faut convaincre tous les acteurs de la filière de l'efficacité technique et financière de produits comme Pygmalion ou Echiquier pour les grandes cultures.

Blé

Les produits de biocontrôle, comme ceux qui visent à lutter contre la septoriose, sont aussi efficaces que les phytosanitaires. Reste à convaincre les producteurs de les utiliser et les prescripteurs de les conseiller...

© DR

Jouer les pygmalions en matière de protection des plantes pour tous les acteurs du secteur : c'est l'ambition que se donne De Sangosse, en mettant en avant ses produits de biocontrôle. Ils ont tout pour plaire, dans un contexte de retrait progressif de diverses molécules chimiques, afin de réduire l'usage des produits phytosanitaires et de préserver l'environnement et la santé humaine. En plus, ils sont efficaces – et pas plus chers que les produits conventionnels, d'après le fournisseur. 

Le biocontrôle ne concerne que 6 % des céréales

Oui, mais voilà, en 2023, seuls 8 % des hectares cultivés en France ont été traités avec des produits de biocontrôle (soit une augmentation de 1 à 2 % au cours des trois dernières années). Et sur ces 7 millions d'hectares, 6 % seulement concernaient les céréales (3 % en maïs, 1 % en colza).

Pourtant, l'un des produits De Sangosse, un fongicide antiseptoriose blés, Pygmalion® blés, à base de phosphonates…

La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés