
Les surfaces de céréales, notamment le blé et le maïs, sont orientées à la baisse depuis dix ans. On note également une forte variabilité selon les années et des surfaces en blé particulièrement faibles en 2024.
Certaines céréales comme l’orge, le triticale et le sorgho connaissent néanmoins des dynamiques à la hausse.
Ce recul global des céréales est compensé en partie par la progression des oléagineux (colza, tournesol), des protéines végétales et d’autres grandes cultures (pommes de terre par exemple).
Des évolutions analogues s’observent dans les autres pays céréaliers de l’Union européenne.
Source : Agreste du 17 septembre