
La France n’aura jamais eu autant recours aux importations de vins en vrac qu’au cours de la période allant de janvier à septembre 2016. D’après FranceAgrimer :
Ces dernières passent pour la première fois au-dessus de la barre des 4 millions d’hectolitres. Le manque de disponibilité en vin d’entrée de gamme français est en partie à l’origine de ce phénomène. La France a, en effet, de plus en plus de difficultés à satisfaire la demande en vins SIG à la fois sur son propre marché mais aussi sur ses marchés d’exportations. La majeure partie de ces volumes importés correspond à des vins en vrac sans indication géographique (SIG) et sans mention de cépage. La part de marché de l’Espagne dans les importations françaises de vins est de 72 % contre 68 % sur la moyenne quinquennale.