Avec plus de 50 % de sa réglementation décidée à Bruxelles, 500 millions d’euros de financement annuel et une commercialisation qui profite largement du marché unique et des accords de libre-échange, la filière vin doit beaucoup à l’Union européenne.
« Je pense qu'en tant que chefs d’entreprise, nos adhérents sont bien conscients – d’autant plus dans le contexte actuel – de l’intérêt de l’échelle européenne pour notre filière. C’est en tout cas le message que nous allons essayer de leur faire passer dans les prochaines semaines », explique Samuel Masse, vice-président des Vignerons indépendants de France, en charge des affaires européennes, et, à ce titre, vice-président de la Confédération européenne des vignerons indépendants (Cevi).
Comme d’autres organismes de défense, la Cevi a donc publié un manifeste en vue des élections européennes. En huit pages, elle adresse aux candidats des différents pays de l’UE ses attentes en matière agricole, économique, environnementale, sociale et sociétale.
Simplification administrative, filet de sécurité et libre-échange
Sur le plan économique, les Vignerons indépendan
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