Jérôme Bauer commente la réaction du ministre:
J'ai pu remettre deux bouteilles au ministre, l'une venant de chez moi en Alsace, et l'autre venant de Loire en lui demandant de trouver ce qui cloche, et en lui expliquant que je lui offre la mienne, mais que j'offrirai l'autre à la répression des fraudes. Il m'a répondu qu'il comprenait le danger de l'usurpation et du détournement de notoriété, dans le nouveau contexte des autorisations de plantations VSIG, sans toutefois proposer de solutions concrètes...
Le ministre s'est dit choqué par de telles pratiques. Ses collaborateurs ont indiqué qu'ils allaient plancher sur une réglementation concernant les autorisations de plantation VSIG et le critère de détournement de notoriété.
J'ai l'impression qu'ils ne mesurent pas les conséquences que nous pourrions subir...