
Quatre ans après avoir ressuscité le concept du JDS, l’industriel Fabien Guillet annonce l’homologation du Tractovigne. Les premières commandes arrivent pour ce tracteur unique sur le marché.
Le Tractovigne, c’est l’aventure de Fabien Guillet et de son équipe chez Guillet Group, des industriels de la métallerie et ferronnerie de haute précision. Régulièrement, Guillet industries relève des défis de construction métallique là où peu d’entreprises osent s’aventurer : échafaudages de la tour Eiffel, scène mouvante pour des concerts gigantesques…
Pour le coup, le Tractovigne est l’un des gros défis de Fabien Guillet, dont l’entreprise réalise bon an mal an 14 millions d’euros de chiffre d’affaires : « J’ai investi 2 millions d’euros dans ce projet », précise-t-il. À l’origine, il y a le concept de ce tracteur très intéressant pour les vignerons : le tracteur JDS, pensé pour réussir l’équation étroitesse et stabilité. Un tracteur qui a d’ailleurs le mérite de reposer la question de la mécanisation en viticulture, en arboriculture et en maraîchage de terroir : doit-on adapter les parcelles au matériel, ou bie
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