
L’outil d’aide à la décision en cours de développement devrait aider les propriétés à faire des choix de clarification plus pertinents et mieux adaptés au vin pour conserver au maximum ses qualités.
© © L. Theeten / Pixel ImageUne mauvaise préparation du vin à la mise en bouteille peut être à l’origine de différents problèmes.
« En premier lieu, il arrive qu’on réalise des traitements inadaptés, car ils sont effectués trop tardivement pour clarifier le vin. Le risque de colmatage est ainsi plus élevé et une altération de la qualité du vin liée à la rétention excessive des colloïdes peut se produire. Ces éléments peuvent causer un amaigrissement du produit et une perte d’arômes fruités.
En cas de pression ou de colmatage trop importants, des risques de relargage de micro-organismes indésirables peuvent aussi apparaître. On s’expose à des surcoûts de main-d’œuvre et de matières sèches liés à la nécessité de débâtir et de rebâtir un filtre colmaté.
Enfin, dans certains cas, des filtrations ou d’autres traitements sont réalisés alors qu’ils sont inutiles ce qui représente un coût non négligeable pouvant être évité », détaille Jean-Christophe Crachereau, responsable pratiques et produits œnologiques à la chambre d’agriculture de la Gironde.
Limiter les traitements au strict nécessaire
À l’opposé, anticiper la préparation du vin à
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