
Réduire les besoins en énergie, diminuer la production de boues, mieux intégrer les installations dans le paysage, voire réutiliser l’eau d’épuration : telles sont les ambitions des nouvelles techniques de dépollution des effluents vinicoles.
Dépolluer les effluents vinicoles est une obligation que de nombreux vignerons, coopératives et négociants ont intégrée. Mais tout n’est pas encore réglé, car ces dépenses ne font pas partie des investissements productifs. Et tandis que les installations de première génération doivent être renouvelées, les enjeux ont évolué : il s’agit de ne pas détraquer le climat en voulant éviter de polluer les rivières. Or la consommation de carburant pour épandre les effluents dégage du CO2.
L’énergie électrique des pompes utilisées pour aérer les effluents représente un coût et peut entrer en concurrence avec le besoin en énergie des opérations de vinification. Par ailleurs, l’intégration paysagère des installations est un souci qui monte en puissance, avec le développement de l’œnotourisme.
Épurer directement avec la zéolithe
Tous ces éléments poussent à l’amélioration des procédés de dépol
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