Quoi de neuf en cave ?

Le photomètre est piloté par un Smartphone en Bluetooth, et grâce à une application gratuite à télécharger.  Photo : Dujardin-Salleron

Réaliser soi-même des analyses, confier la vendange à un cuvon autonome, détecter les brett’ par PCR à domicile : voilà ce que proposent trois fournisseurs membres de l’association Vignovin, pour gagner en autonomie et en réactivité.

Gagner en indépendance, sans se transformer en laborantin ni remplacer son œnologue : c’est l’une des tendances identifiées par Laboratoires Dujardin-Salleron. Selon ce fabricant 100 % tourangeau de matériel d’analyse, les analyses peuvent constituer une aide à la décision, voire une justification de ses choix. Par exemple, la teneur en acide gluconique va témoigner de la qualité de la vendange. Connaître la teneur en azote ammoniacal des moûts peut générer des économies d’intrants en évitant un apport non nécessaire.

Pour effectuer des analyses au chai, « il existe des solutions simples et rapides, comme notre photomètre DS Oeno », indique Antoine Gruau, œnologue technico-commercial. Cet appareil peut analyser jusqu’à quinze paramètres, dont les quatre « indispensables » : titre alcoométrique, glucose/fructose (pour suivre la fin des sucres), acidité volatile, SO2. Pour les situations parti

La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés