Technique d’accord, AOC d’abord

« Les côtes-de-provence sont reconnus leader sur le marché pour le rosé. Ne laissons pas le créneau effervescent  aux Champenois ! », O. Lebrun. Photo : Château de Brigue

Les effervescents en Provence existent depuis 1907 selon le CIVP. Et malgré les études successives, autant sur les aspects techniques qu’économiques, la reconnaissance se fait attendre. Comme annoncé lors de l’assemblée générale du 16 juillet, l’Association des rosés effervescents de Provence (l’Arep) semble bien décidée à faire aboutir son dossier auprès de l’INAO courant 2015-2016.

Bonne nouvelle pour le rosé effervescent de Provence : le pré-dossier pour la reconnaissance en AOC sera bien déposé courant 2015 auprès de l’INAO. Le vote a été unanime le 16 juillet dernier lors de l’assemblée générale au Centre du rosé de Vidauban. Pour cela, deux travaux restent à effectuer : le recensement des vignerons producteurs de rosé à bulles et la rédaction détaillée du cahier des charges. L’INAO pourra ensuite préconiser des axes d’amélioration avant que le dossier final soit remis. Pas de nouveau territoire à délimiter, l’Association des rosés effervescents de Provence, l’Arep, a opté pour la cohérence : inclure la méthode de vinification du rosé effervescent dans le cahier des charges de l’AOC côtes-de-provence. « Cette

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