
Malgré une concurrence forte, une consommation de vin tranquille stagnante voire en régression chez les jeunes, le Japon reste un marché où les vins français, de moyenne à très haute gamme, suscitent encore de l’envie. Mais pour maintenir les ventes, l’image très positive de la France n’est cependant pas suffisante.
Le 6 juillet 2017, après cinq années de discussions, le Japon et l’Union européenne annonçaient s’être entendus sur le principe d’un accord de libre-échange.
Le Jefta, pour Japan-EU free trade agreement, ravit la plupart des acteurs économiques des deux zones commerciales1. Le secteur du vin en premier lieu. « Cet accord doit permettre de nombreuses avancées dans le commerce bilatéral des vins et spiritueux et la levée de barrières, qu’elles soient tarifaires ou non tarifaires, ainsi qu’une meilleure protection des indications géographiques », commentait dès le lendemain de l’annonce la Fédération des exportateurs de vins & spiritueux de France.
Une disparition des droits de douane dans deux ans ou plus
Dans les faits, les conséquences du traité tant attendu par la FEVS ne devraient pas se faire sentir immédiatemen
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