D’après le dernier rapport de l’Observatoire mondial du rosé, la France conserve son leadership et ses places de 1er consommateur, 1er producteur, 1er importateur en volume et 1er exportateur en valeur de rosé.
En 2002, la France occupait la place de 1er consommateur de rosé au monde avec 5,6 millions d’hectolitres (Mhl). Dix-sept ans plus tard, notre pays occupe toujours cette place sur un marché qui n’a cessé de grandir depuis. En 2019, les Français ont consommé 8,1 Mhl de rosé, soit 35 % des volumes consommés dans le monde, loin devant les États-Unis (15 %) et l’Allemagne (7 %).
Pour l’Observatoire mondial du rosé (OMR), créé et copiloté depuis 2011 par FranceAgriMer et le Conseil interprofessionnel des vins de Provence (CIVP), la consommation est un des quatre indicateurs mis à jour tous les ans, avec toutefois un historique depuis 2002.
Une consommation en progression
Dans le dernier rapport présenté en mai 2021, Brice Amato, responsable du service analyse des vignobles et marchés du CIVP, a constaté qu’au niveau mondial « la consommation de vins rosés progresse d’environ 1 % par an depuis le début des années 2000 pour atteindre 23,6 Mhl en
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