
Depuis une dizaine d’années l’automatisation gagne du terrain. Sesol France, ainsi que des constructeurs italiens tels que Tecnel ou Sincera Sistemi, ont mis sur le marché des machines semi-automatiques pour le cachetage à la cire. Le principe ? L’utilisateur positionne la bouteille dans une station de chargement munie d’une pince en acier qui, grâce à un système de contrepoids, renverse la bouteille pour venir la tremper dans un bain de cire, avant de la ramener à sa position initiale. L’utilisateur retire ensuite la bouteille. Le temps de trempage est réglable via un afficheur électronique. « Notre machine standard peut travailler à une cadence de 600 bouteilles par heure pour les 75 cl. Nous en vendons deux à trois par an, surtout en Bourgogne, dans le Bordelais et les Côtes-du-Rhône », évalue Maxime Lepeltier de Sesol France. Il faut compter environ 15 000 euros pour un appareil neuf. Sesol propose aussi une machine à même de cacheter les grosses bouteilles, jusqu’à une contenance de 20 l.
Une machine à cirer entièrement automatique
Pour aller plus loin dans l’assistance, les constructeurs pensent bien sûr à la conception de machine to
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