
Le vrac a incontestablement un impact positif sur le coût environnemental du transport du vin. Relocaliser la mise en bouteille sur les lieux de consommation implique une empreinte carbone plus faible pour les vins exportés. Mais ne faut-il pas considérer son rôle de manière plus globale, à la fois sous l’angle social et économique… celui du développement durable.
L’un des atouts mis en avant par les acteurs du vrac, c’est son impact positif sur l’environnent, à travers une moindre émission de CO2.
Logique, puisque le transport du vin en vrac se fait sans le volume et le poids des contenants, les bouteilles. Un poids plus léger pour la même quantité de vin, mais aussi un encombrement moins important, permettant l’expédition de davantage de volumes, un argument qui a son importance notamment pour le grand export. Globalement, lors de l’analyse du cycle de vie du vin, partant de la culture de la vigne jusqu’à l’acte de consommation, trois étapes sont les plus impactantes : la culture de la vigne, les vinifications et le packaging. LA 4e… c’est le transport.
Un poste qui varie énormément en fonction de la distance parcourue depuis le lieu de produc
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