« Une story permet d’interagir directement avec nous »
« Le domaine est présent à la fois sur Facebook depuis quatre-cinq ans, sur Twitter depuis deux-trois ans et plus récemment, depuis un an et demi-deux ans sur Instagram.
Au début, quand je voyais des personnes se mettant en scène dans des stories, ça ne me plaisait pas trop. Un jour, je me suis dit : “Tiens, je vais essayer”, et puis je me suis pris au jeu. Ce que j’apprécie dans les stories, c’est le fait de mettre en valeur des choses à un moment donné. J’ai commencé à faire comme tout le monde, à poster des stories pour annoncer un événement présent dans mon fil d’actualités, par exemple.
Lorsque je réalise des stories, sur Instagram plus particulièrement, je pense à autre chose, et cela m’évite de m’énerver sur du matériel par exemple. Ce que j’aime aussi, c’est de pouvoir faire découvrir le métier de vigneron aux personnes qui ne le connaissent pas forcément. Je ne cherche pas à trouver de nouveaux clients, simplement à expliquer et à montrer mon métier.
Les stories permettent également aux personnes d’interagir directement avec nous. Sous une photo, les personnes qui nous suivent ne mettraient pas forcément de commentaire, mais pour une story, ils commenteront et poseront plus facilement des questions.
Concernant l’organisation, je ne veux pas avoir un planning trop carré, je crée des stories lorsque j’ai quelque chose à montrer. En moyenne, je poste des stories deux jours sur trois. »
« Le domaine est présent à la fois sur Facebook depuis quatre-cinq ans, sur Twitter depuis deux-trois ans et plus récemment, depuis un an et demi-deux ans sur Instagram.
Au début, quand je voyais des personnes se mettant en scène dans des stories, ça ne me plaisait pas trop. Un jour, je me suis dit : “Tiens, je vais essayer”, et puis je me suis pris au jeu. Ce que j’apprécie dans les stories, c’est le fait de mettre en valeur des choses à un moment donné. J’ai commencé à faire comme tout le monde, à poster des stories pour annoncer un événement présent dans mon fil d’actualités, par exemple.
Lorsque je réalise des stories, sur Instagram plus particulièrement, je pense à autre chose, et cela m’évite de m’énerver sur du matériel par exemple. Ce que j’aime aussi, c’est de pouvoir faire découvrir le métier de vigneron aux personnes qui ne le connaissent pas forcément. Je ne cherche pas à trouver de nouveaux clients, simplement à expliquer et à montrer mon métier.
Les stories permettent également aux personnes d’interagir directement avec nous. Sous une photo, les personnes qui nous suivent ne mettraient pas forcément de commentaire, mais pour une story, ils commenteront et poseront plus facilement des questions.
Concernant l’organisation, je ne veux pas avoir un planning trop carré, je crée des stories lorsque j’ai quelque chose à montrer. En moyenne, je poste des stories deux jours sur trois. »
« Le contenu peut être décalé »
« Je fais des stories depuis environ un an et demi. Je les diffuse uniquement sur Instagram car j’ai fait des essais sur Facebook et je trouve que les gens ne les regardent pas forcément. C’est quand même moins l’esprit de Facebook. À la base, je me suis lancée dans les stories pour nous faire connaître. C’est un outil qui ne coûte rien et qui s’utilise facilement. Désormais, nous avons réussi à avoir de l’interactivité avec nos clients. C’est aussi une possibilité pour nous de ne pas nous faire oublier, et pour les gens qui nous suivent de voir ce que l’on fait en matière de cultures, de mise en bouteille, de déplacement, etc. Dernièrement, nous avons été contactés par un jeune qui va ouvrir sa cave. Grâce à nos stories, il a l’impression de nous connaître et d’avoir une certaine intimité avec ce que l’on fait. C’est ce genre de relations que l’on recherche. Le contenu qui concerne le domaine représente notre vitrine et on se doit d’être sérieux. Grâce aux stories qui sont éphémères, il est possible de poster un contenu décalé. De plus, les gens qui regardent la story ont fait l’effort d’aller la voir eux-mêmes. On ne leur met pas le contenu sous les yeux.
Côté planning, j’essaie de ne pas avoir de creux mais je ne souhaite pas en avoir trop. J’aime bien mettre trois-quatre stories à la suite mais pas plus. J’en mets en général deux par jour et j’essaie d’en publier chaque jour. »
« Je fais des stories depuis environ un an et demi. Je les diffuse uniquement sur Instagram car j’ai fait des essais sur Facebook et je trouve que les gens ne les regardent pas forcément. C’est quand même moins l’esprit de Facebook. À la base, je me suis lancée dans les stories pour nous faire connaître. C’est un outil qui ne coûte rien et qui s’utilise facilement. Désormais, nous avons réussi à avoir de l’interactivité avec nos clients. C’est aussi une possibilité pour nous de ne pas nous faire oublier, et pour les gens qui nous suivent de voir ce que l’on fait en matière de cultures, de mise en bouteille, de déplacement, etc. Dernièrement, nous avons été contactés par un jeune qui va ouvrir sa cave. Grâce à nos stories, il a l’impression de nous connaître et d’avoir une certaine intimité avec ce que l’on fait. C’est ce genre de relations que l’on recherche. Le contenu qui concerne le domaine représente notre vitrine et on se doit d’être sérieux. Grâce aux stories qui sont éphémères, il est possible de poster un contenu décalé. De plus, les gens qui regardent la story ont fait l’effort d’aller la voir eux-mêmes. On ne leur met pas le contenu sous les yeux.
Côté planning, j’essaie de ne pas avoir de creux mais je ne souhaite pas en avoir trop. J’aime bien mettre trois-quatre stories à la suite mais pas plus. J’en mets en général deux par jour et j’essaie d’en publier chaque jour. »
A découvrir, aussi, cet article avec d'autres retours d'expérience de vignerons et un tuto! : Et si vous vous lanciez dans les stories ?
Article paru dans Viti 444 de juillet -août 2019