Contre-étiquette : un moyen de se démarquer trop souvent négligé

La contre-étiquette d’une bouteille de vin n’est pas ce que le consommateur voit en premier… mais il la voit quand même. Elle permet de décharger l’étiquette principale, c’est aussi un espace de communication à part entière, pour en dire plus sur vous, votre vin, laisser vos coordonnées, vous démarquer, etc.

La contre-étiquette :  un moyen  de se démarquer  trop souvent négligé.  ©  E.Thomas/Pixel Image

La contre-étiquette : un moyen de se démarquer trop souvent négligé.

© © E.Thomas/Pixel Image

La contre-étiquette n’est très souvent pas la priorité en ce qui concerne l’habillage, ni en matière de budget ou de création. Les producteurs s’attachent davantage à l’étiquette, car c’est ce que l’on voit en premier. La contre-étiquette ne se voit que dans un second temps, une fois la bouteille tournée : « Ce n’est pas elle qui déclenche le 1er intérêt du consommateur lorsque celui-ci est face à un linéaire. » Tout ceci est exact, mais il n’en demeure pas moins, que la contre-étiquette mérite qu’on y prête un peu d’attention. 

Pourquoi, me direz-vous ? Premièrement parce que si on ne la voit pas en premier… on la voit quand même : il serait donc dommage de pénaliser le soin mis dans une splendide étiquette, par une contre-étiquette ratée (à l’encre pâle ou qui bave – message pour ceux qui impriment eux-mêmes), trop chargée, illisible ou dont le style ou la couleur n’est pas cohérent avec l’étiquette. Voire… carrément laide. Bref il faut éviter le « faux pas » visuel et marketing.

Une contre-étiquette n’est pas obligatoire, mais elle permet de décharger l’étiquette principale de certaines m

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