À la frontière du tourisme culturel et du tourisme gastronomique, dans l’un des pays les plus touristiques du monde, l’œnotourisme à la française est un enjeu économique fort. Acteurs du tourisme et de la filière semblent décidés à unir leurs forces mais tous les rouages ne sont pas encore bien huilés !
« Nous avons un produit attractif mais démuni de politique commerciale nationale et lisible. » Cette critique qui revient souvent lorsqu’on aborde la question de l’œnotourisme et de sa promotion est fondée. Le cluster œnotourisme d’Atout France a fait le choix, validé par l’administration française, de ne pas faire de promotion générale pour l’œnotourisme en France. L’œnotourisme à la française se réfléchit par vignoble (17 en tout). Ce choix se retrouve dans le rapport proposé par Michel Bernard, ancien président d’Inter-Rhône à Laurent Fabius en 2015 et désormais dans toutes les actions cofinancées par Atout France.
Le site Internet institutionnel www.visitfrenchwine.com est ainsi construit par « destination ». Pour chacune d’elles, des entreprises viticoles privées proposant des prestations œnotouristiques d’envergure côto
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