« L’export, c’est indispensable. Aujourd’hui, nous sommes un vignoble avec une notoriété mondiale. Il va falloir rester dans cette catégorie. » Avant de céder la main à Jean-Marc Lafont, nouveau président d’Inter Beaujolais, le président sortant, Philippe Bardet, a exhorté les forces vives du Beaujolais à repartir parcourir le monde : « Notre marché est mondial, il faut porter nos couleurs. »
Une fois la palette vendue, le travail commence
Un travail qu’effectue au quotidien Christophe Bristiel, directeur commercial des domaines de la famille Richard, qui souligne l’importance d’accompagner les bouteilles et les équipes de vente sur place. Quelle que soit la taille du marché ou du domaine.
« Une fois que la palette est vendue, c’est là que le travail commence », insiste le directeur, qui conseille d’aller aussi à la rencontre des vendeurs et de ne pas s’arrêter à l’importateur. « France ou export, cela reste de la vente. Il faut avoir une démarche commerciale et construire une relation de la même manière. »
Chasser en meute
Participer à une mission collective peut être une bonne occasion pour prendre des contacts. Lu
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