De nombreux domaines ont du mal à trouver un conducteur d’engins viticoles. Face à cette pénurie, plusieurs solutions sont possibles : former des personnes ou « séduire » le peu de tractoristes disponibles sur le marché. Les conseils de Morgane Prost, de l’Apecita Occitanie.
S’il est un poste sous tension en viticulture, c’est bien celui de tractoriste. Trouver un conducteur d’engins viticoles qualifié n’est pas une mince affaire. Le salaire ne semble pas être le nœud du problème, mais bien le manque de candidats. Par conséquent, les salaires flambent, certains employés sont débauchés et passent d’un domaine à l’autre.
Pour faire face à cette pénurie, plusieurs solutions. Former des personnes non qualifiées mais motivées, ou « séduire » le peu de tractoristes disponibles sur le marché. Dans ce cadre, le salaire est bien évidemment un atout, mais il n’est pas le seul : possibilité d’évolution, matériel de pointe, confort de travail sont autant d’aspects à mettre en avant. Sur ce type de poste difficile à pourvoir, la rédaction de l’annonce prend toute son importance.
« Pour ce type de poste, clairement en manque de candidats
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