
Depuis qu’il s’est installé en tant que viticulteur en 1998 au sein du domaine familial, Stéphane Saurel cherche continuellement à réaliser des économies d’énergie tout en réduisant le bilan carbone des Terrasses d’Eole. Aujourd’hui, l’exploitation vauclusienne s’approche de la neutralité carbone.
Viticulteur à Mazan, dans le Vaucluse, Stéphane Saurel semble sans cesse réfléchir à la manière de réaliser des économies d’énergie tout en atténuant le bilan carbone des Terrasses d’Eole, le domaine familial. Il étudie tous les postes sur lesquels il peut agir, par de « grands » moyens ou de plus « petites » choses. Cela a commencé dès 1998, quand il s’est installé avec ses parents. Ils ont construit une cave en partie enterrée pour, d’un côté bénéficier d’une isolation naturelle sans besoin de climatiser l’été et, de l’autre, pouvoir réceptionner la vendange par gravité sans utiliser de pompe.
Dans le chai, le viticulteur s’est penché plus tard sur une pompe centrifuge utilisée pour faire circuler l’eau. « Elle était surdimensionnée. J’ai ajouté un variateur de vitesse à régler en fonction des besoins. En d
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