Selon le média « la semana vitivinicola », les viticulteurs espagnols ne pourront plus brûler les résidus de taille. Ils devront être broyés et laissés au sol, ou collectés pour alimenter des centrales de chauffage à biomasse.
Le puissant syndicat Union de Castilla-La Mancha s'oppose à cette réglementation, qui est « injustifiée d'un point de vue environnemental » et qui va obliger les viticulteurs à investir dans des broyeurs et des tracteurs plus puissants « qui à leur tour consomment beaucoup plus de carburant fossile ».
La crainte d’un développement de maladies est aussi évoquée.