Le 1er Forum douane-viticulture s’est tenu en février à Paris. Il a permis de faire le point sur les enjeux et les changements à venir, tels que la réforme communautaire des droits de plantation, la dématérialisation des procédures de gestion de la filière, les simplifications réglementaires… La simplification est le maître mot des années à venir.
Pour la première fois, la Direction générale des douanes et droits indirects (DGDDI) a organisé, en février à Paris, un Forum douane-viticulture, entièrement consacré à la filière viticole. Les services souhaitent se positionner comme un allié de la filière, et pas uniquement comme un gendarme.
La dématérialisation est en marche
La dématérialisation a commencé, mais elle devrait se poursuivre et s’accélérer en 2017 et 2018.
« Le recours à la dématérialisation pour les déclarations de récolte, de stocks, de production et des pratiques œnologiques sera obligatoire à partir du 1er janvier 2017 », rappelle Corinne Cleostrate, sous-directrice aux droits indirects à la Direction générale des douanes et droits indirects (DGDDI). Pour certaines déclarations, la mutation est déjà en cours : « Cette
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