
Le cuivre est l’un des fongicides les plus utilisés en viticulture. Alors que les impacts sur l’environnement de son extraction minière posent question, la solution n’est-elle pas à trouver dans la filière du cuivre recyclé ?
En agriculture, les qualités antifongiques du cuivre en font une des matières actives les plus utilisées. Ce cuivre peut avoir deux origines : il est soit extrait des mines, soit recyclé.
En parallèle de cette utilisation agricole, la transition énergétique pourrait contribuer à augmenter la demande en cuivre, le métal entrant dans la fabrication des éoliennes, des panneaux solaires ou encore des véhicules électriques.
Les réserves de cuivre seront-elles suffisantes pour répondre à la demande ?
« Il n’y a pas de crainte à avoir à ce niveau-là et il faut faire attention aux effets d’annonce, avoue Christian Thomas, président du pôle de compétitivité Team2, spécialisé dans les éco-matériaux et le recyclage. Déjà dans les années 1960, le Club de Rome annonçait que les réserves de l’époque seraient épuisées en seulement dix ans… C’est loin d’être le cas ! »
Selon une étude de l’institut géol
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