
Dans le cadre d’une thèse en viticulture de précision, un capteur a été adapté sur un chenillard. La prise d’images permet d’apporter des informations quantitatives et qualitatives sur le feuillage. À long terme, ce dispositif devrait permettre d’identifier des symptômes et d’adapter les apports d’intrants au niveau intraparcellaire.
Étudier le feuillage de la vigne et ses changements d’états grâce à la conception d’un dispositif d’imagerie (capteur) embarqué sur un chenillard, tel a été le sujet de la thèse menée par Marie-Aure Bourgeon de 2012 à 2015 à Dijon. L’objectif était de détecter des symptômes liés à des maladies ou à des carences et les différences existant au niveau intraparcellaire grâce à la localisation des données par GPS. La finalité est de pouvoir optimiser et moduler les traitements phytosanitaires ou la fertilisation en fonction des observations faites par imagerie.
Rester accessible aux viticulteurs
Cette thèse a été menée au sein de l’équipe « agriculture de précision » de l’UMR agro-écologie qui associe l’Inra de Dijon, Agrosup Dijon et l’université de Bourgogne. Elle a été financée par
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