
Selon l’enquête sur les pratiques culturales réalisée par le ministère de l’Agriculture en 2019 et publiée cet automne, plus de la moitié des surfaces viticoles françaises sont touchées par un dépérissement des ceps, même faible. Le dépérissement est constaté en moyenne depuis dix ans et 9 % des ceps sont concernés. Ce chiffre moyen est très variable selon les régions : il atteint 79 % en Val de Loire contre 29 % en Corse. Les maladies du bois sont la principale cause de dépérissement (41 % des surfaces concernées), suivies par les virus (5 %) et les blessures (4 %). L’enquête a porté sur 6 849 parcelles, dont 27 % en bio.
Source : SSP – Agreste, enquête sur les pratiques culturales en viticulture en 2019.