Et si les drones permettaient de lutter contre la flavescence dorée ?

crédit photos : david Lefevbre

Le drone Agras MG1 est pilotable jusqu’à 1 km de distance. Avec sa capacité de 10 litres embarqués, son usage n’est pour l’heure envisageable que pour des traitements ciblés. Il intègre la technologie No Fly Zone qui lui interdit automatiquement le survol de zone sensible : aéroport, centrale nucléaire, G20, etc. Jusqu’à 15 satellites peuvent le traquer simultanément. Sur la nouvelle version (Agras MG-1S pas encore disponible en Europe), la précision du pilotage au cm est apportée par une antenne RTK, comme pour les tracteurs. L’aéronef épouse les courbes de niveau. Bardé de capteurs, ce drone évite les obstacles.

Une révolution technologique est en marche chez nos voisins agriculteurs suisses avec les drones qui vont pouvoir identifier et reconnaître une maladie et effectuer des traitements ciblés.

Non, ce n’est pas de la science-fiction ! Il est techniquement envisageable aujourd’hui d’avoir des drones qui détectent les prémices d’une maladie, puis d’aller traiter la zone touchée : « C’est surtout sur l’interprétation et l’exploitation des données qu’il y a nécessité de travailler », explique Frédéric Gex, qui a fondé l�

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