
Pour limiter le stress hydrique des vignes, l’un des leviers consiste à « conserver » l’eau dans le sol et à éviter les pertes, afin que chaque goutte de pluie ou d’eau apportée par l’irrigation profite à la vigne. L’addition dans le sol de composés capables de stocker l’eau puis de la restituer en fonction du besoin des plantes est une piste à l’étude.
L’un des leviers pour contrer le stress hydrique des vignes est de conserver l’eau dans le sol – qu’elle provienne du ciel ou de l’irrigation – et d’éviter les pertes. Outre les pratiques d’entretien du sol, comme l’épandage de mulch qui réduit l’évaporation, d’autres possibilités visant à améliorer la rétention de l’eau dans le sol lui-même peuvent être envisagées. C’est le cas de l’addition dans le sol de composés hydro-rétenteurs, capables de stocker l’eau puis de la restituer en fonction du besoin des plantes.
L’idée n’est pas nouvelle, et dans les pays au climat aride, sur des cultures à haute valeur ajoutée, l’emploi de polymères, susceptibles de stocker jusqu’à 500 fois leur poids en eau, est d’actualité depuis des dizaines d’années
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