
Des chercheurs de l’Inra et de l’université de Harvard aux Etats-Unis suggèrent que l’un des leviers pour adapter la viticulture au changement climatique est d’exploiter la diversité des autres cépages cultivés, en plantant des cépages moins connus et en encourageant de nouvelles pratiques chez les viticulteurs et les consommateurs.
A l’échelle mondiale, seulement 12 cépages (soit 1 % des cépages cultivés) occupent jusqu’à 80 % des vignobles de certains pays.
Leur étude est publiée dans la revue Nature Climate Change le 2 janvier 2018.