
Les chambres d’agriculture et la fédération Cuma Bourgogne mènent une étude de trois ans sur la consommation de carburant en viticulture. Les premiers résultats portent notamment sur cinq chantiers : le désherbage, le travail du sol, la pulvérisation, la fertilisation et l’effeuillage.
À la demande du BIVB, les chambres d’agriculture et la fédération Cuma Bourgogne ont lancé une étude régionale « consommation de carburant en viticulture ». Débutée en 2013 et prévue sur trois ans, elle a pour objectif d’établir des références sur les consommations de carburant en viticulture. Avec un prix moyen flirtant avec la valeur symbolique d'un euro par litre, le gazole non routier représente bien une charge pour les exploitations viticoles.
En 2013, l’étude a porté sur trois volets : « Une première enquête a été menée à l’échelle des exploitations pour connaître la consommation globale en carburant », explique Jérémie Nobs de la chambre d’agriculture de Côte-d’Or. « Ensuite, une seconde visait à collecter des données sur la consommation de carburant des exploitants au cours de certains chantiers comme le travail du sol, la pu
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