La recherche sur les porte-greffe sort de l’ombre

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55 variétés de porte-greffe inscrites en France et à l’étranger ont été implantées sur une parcelle de l’Inra de Bordeaux. Objectif ? Réactualiser ou acquérir des connaissances sur ce matériel végétal.  Photo : Inra Bordeaux
Peu développées depuis près de 50 ans, la recherche et la sélection de nouveaux porte-greffe sont reparties depuis quelques années. Malgré l’utilisation de nouvelles techniques génétiques permettant d’avancer plus vite, les premiers individus ne seront pas prêts avant 15 ans !Le grand oublié : c’est ainsi que l’on pourrait qualifier le porte-greffe en viticulture. Si la sélection variétale est revenue dans l’actualité récemment, ce sont les variétés résistantes au mildiou et à l’oïdium qui se sont accaparées le débat. Rien ou presque sur les racines ! Le porte-greffe a-t-il été victime de son succès ? La solution au problème du phylloxera trouvée, les porte-greffe se sont retrouvés au second plan. La plupart des 31 variétés inscrites ont été obtenues peu après la crise phylloxérique. à peine deux sélections, le Fercal et le Gravesac, ont été obtenues par l’Inra au début des années 1960 et inscrites dans les années 1980, l’un plus résistant à la chlorose, l’autre, au contraire, plutôt adapté aux sols acides. Seule exception plus récente : le Nemadex Alain Bouquet, tolérant au court-noué, inscrit en 2010.Les…
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