Le drone, le nouvel ami du viticulteur

Un drone, des drones… Il existe différents systèmes de drones : certains types « mini-hélicoptères, mini-avions (= multirotors), ou mini-aile volante, pour un même usage avec des spécificités différentes : l’aile volante pour les grandes surfaces, les multi-rotors pour descendre dans les rangs. © DR

L’utilisation des drones se développe en viticulture. Différents acteurs émergent peu à peu sur le marché du drone civil « agricole ». Les utilisations actuelles concernent essentiellement la cartographie du rendement et de la maturité, mais les pistes de travail sont prometteuses.

 

L’utilisation des drones se développe en agriculture de manière générale. D’abord axé sur les grandes cultures ce nouvel « outil » commence à apparaître au-dessus des vignobles français. Il faut dire que la technologie ne manque pas d’atouts : ludique – il faut bien l’avouer –, efficace, d’une disponibilité plus souple que le satellite et l’avion – et d’un prix qui devrait baisser avec l’entrée en jeu de nouveaux acteurs, ses utilisations en vigne ont commencé et d’autres sont encore à imaginer.

Les atouts du drone ? En premier lieu sa souplesse d’utilisation : pas de créneau de survol à réserver et moins dépendant des conditions météorologiques que l’avion et le satellite. Il peut voler à très basse altitude pour une prestation « à la carte ». Par rapport à l’imagerie embarquée sur enjambeurs, le drone évite le tassement des so

La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés