Le goutte-à-goutte pour gérer au mieux l’eau et les nutriments

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Pour Jérémy, Mickaël et Michel Bellier, l’irrigation du vignoble est un travail à part entière, qui demande de la surveillance et de l’entretien.  Photo : Bellier
Au Gaec de La Granière dans la Drôme, Michel Bellier et ses fils Jérémy et Mickaël cultivent de la lavande, des céréales et des vignes en AOP côtes-du-rhône (dont villages) et IGP Méditerranée. Un quart du vignoble de 60 ha est irrigué. Ils ont fait le choix du goutte-à-goutte il y a une dizaine d’années. Depuis trois ans, les viticulteurs testent également un système enterré. « En irriguant, nous allons chercher la qualité. Sur certaines parcelles, où ce n’est pas possible, la récolte est compliquée », indique Jérémy Bellier.L’eau provient de forages déclarés à l’organisme unique de gestion collective de l’eau agricole du Vaucluse, de puits remis aux normes, et du canal du Comte. « Nous adhérons à une association syndicale autorisée (Asa) avec un droit à la parcelle et un abonnement », précise-t-il.Selon les parcelles, ils irriguent deux à trois fois entre fin juin et mi-août, pour une consommation annuelle comprise entre 400 et 600 m3 d’eau par hectare. « Nous sommes abonnés au logiciel Vintel® (ITK) pour apporter la juste quantité d’eau », indique Jérémy Bellier. Au cours d’un arrosage, ils en profitent également pour fertirriguer.…
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