MSA : l’aide au répit pour éviter le burn out

L’aide au répit permet de bénéficier de dix jours de remplacement maximum. Photo : Adobe Stock

Le burn out, ou épuisement professionnel, peut toucher les chefs d’exploitation soumis à de trop fortes charges de travail et incertitudes. Face à ce risque, l’aide au répit, proposée par la MSA, peut permettre de souffler, pour protéger sa santé comme celle de son exploitation.

Le cerveau n’est pas un muscle, mais lui aussi peut souffrir d’une trop forte charge de travail : stress, épuisement professionnel, mal être… Trop tirer sur la corde peut avoir des conséquences irréversibles. Face à ces situations, il faut savoir réagir. Concernant le mal-être, la plateforme Agri’écoute est là pour orienter les personnes en souffrance. Quant à l’épuisement professionnel, maladie longtemps peu prise au sérieux, les choses ont évolué, y compris en agriculture. Le risque d’épuisement professionnel y est réel compte tenu des charges de travail importantes, de l’isolement, des incertitudes (aléas climatiques, volatilité des marchés,  etc.), des difficultés de s’arrêter, des difficultés à séparer vie personnelle/vie professionnelle,  etc. Le burn out, ou épuisement professionnel, se traduit par un état d’épuisement à la fois émotion

La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés