
Pour éviter d’avoir à subir un mauvais palissage, par une mauvaise tenue dans le temps, une faible adaptation à ses objectifs de production ou une charge de travail trop importante sur le relevage, mieux vaut réfléchir en amont à l’installation de ses piquets et de ses fils. Dans le Layon, l’ATV49 fait le point sur les règles à suivre pour choisir son palissage.
« Raisonner votre palissage en amont permet un gain de temps sur le long terme », introduit Anne Duval-Chaboussou, conseillère viticulture biologique à la chambre d’agriculture des Pays de la Loire, lors d’une journée organisée par l’ATV 49 sur la plantation, au Domaine de la Bergerie à Champ-sur-Layon (Maine-et-Loire). « Plusieurs facteurs doivent être pris en compte avant l’installation d’un palissage, notamment le type de sol, vos objectifs de production, mais aussi le cépage et l’esthétique voulue », poursuit la conseillère.
Sur un sol acide, on privilégiera les piquets en bois ou à galvanisation élevée pour une plus grande tenue dans le temps. Sur un sol argileux, la section des piquets devra être plus importante pour s’adapter aux mouvements de gonflement/rétractation d
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